Avoir des valeurs et fonder son modèle économique sur des principes forts, ça marche ! La preuve avec O’Tera. L’enseigne, qui a vu le jour en 2006, s’appuie sur un réseau de six points de vente et ne compte pas en rester là ! Spécialisée dans les produits frais en circuit court, O’Tera a intégralement délégué la gestion de ses flux de cash à Loomis. Frédéric VANDAELE, Responsable du développement d’O’Tera témoigne.
Qu’il s’agisse de ses implantations historiques dans le nord de la France ou plus récentes, en région parisienne, le principe fondateur d’O’Tera, c’est le circuit court. Fruits, légumes, boucherie, fromages, crèmerie… Près de 70% des produits proviennent directement de producteurs locaux. Et ne cherchez pas : vous ne trouverez ni marques, ni promotions !
À positionnement spécifique, expérience client différenciante ! Les clients sont accompagnés par des collaborateurs d’O’Tera tout au long de leur passage en magasin jusqu’en caisse. « La qualité de l’accueil est d’ailleurs la deuxième raison de venue dans nos magasins, derrière la qualité des produits ». Le Self check-out permet ensuite au client de régler ses achats auprès d’une borne automatique.
Gérer le cash : une contrainte à éliminer
En misant sur le self-service complet, O’Tera promet à sa clientèle une absence totale d’attente en caisse. Le libre choix du mode de paiement est privilégié et le système de caisse autorise le paiement automatisé en cash ou en carte bancaire. « Il était capital pour nous d’assurer une délégation totale du cash. La manipulation des espèces exige non seulement de la main-d’œuvre, mais cela présente surtout un risque pour la sécurité des biens et des personnes », explique Frédéric VANDAELE.
Les paiements en cash représentent entre 3 et 5% du chiffre d’affaires de l’enseigne. « Nous avons pris l’ensemble des dispositions d’organisation et de sécurité nécessaires pour garantir un ratio risque / butin potentiel totalement déséquilibré et ainsi décourager les personnes mal intentionnées ».
Un dispositif efficace
Lorsque le client a scanné les produits, il peut ensuite désigner son moyen de paiement. Il est alors orienté vers l’automate. S’il règle en espèces, il n’a qu’à insérer les billets qui sont automatiquement traités et conservés dans le coffre. « Il n’y a aucune manipulation d’espèces dans nos points de vente, précise Frédéric VANDAELE, et il n’y pas non plus la moindre possibilité de contact avec le cash. C’est à nos yeux, une question de sécurité ».
"La manipulation des espèces exige non seulement de la main-d’œuvre, mais cela présente également un risque pour la sécurité des biens et des personnes.Loomis est en contact direct avec l’établissement bancaire et se charge des commandes de fonds, des rechargements en pièces (pour le rendu de monnaie) et du délestage des billets, nous ne supportons ainsi ni risque, ni contrainte ! "

Et chez O’Tera, les automates sécurisés sont bien visibles ! « Il faut montrer que les flux de cash sont protégés, précise le responsable, cela a une valeur dissuasive. Des personnes mal intentionnées qui viendraient en repérage, identifieraient immédiatement les dispositifs en place. ». C’est Loomis qui se charge à intervalles réguliers de la collecte des fonds et du rechargement des automates. « Loomis est en contact direct avec l’établissement bancaire et se charge des commandes de fonds, des rechargements en pièces (pour le rendu de monnaie) et du délestage des billets, nous ne supportons ainsi ni risque, ni contrainte ! », conclut Frédéric VANDAELE.
Pour en savoir plus
Encaissement automatique, conditionnement des fonds de caisse, recyclage des espèces…
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